Prendre l'air (RP 18+)

Rosalie avait quitté le cottage.
La saison rendait le paysage époustoufflant.
Le froid avait gagné les environs mais elle ne le ressentait même pas.
Elle avait aimé l'entretien avec sa mère.
Cela lui avait fait du bien mais elle était contrariée car elle n'avait pas de nouvelles de son mari.
- Il ne me fait quand même pas la tête, pensa-t-elle.
Pas pour une si petite blague!!!

C'est songeuse qu'elle décida d'attraper ça et là une proie car la soif ne l'avait pas réellement gagnée.
Elle était sortie prendre l'air et espérait rencontrer quelqu'un qui lui donnerait des nouvelles d'Emmett.

Il l-avait suivit, elle ne le savait pas, puisqu-elle était concentré à sa chasse et surement à ses pensés. Il lui en devait une, mais le jours n-était pas encore venu! Il se donna un élan pour la plaquer au sol et les 2 roulèrent dans l-herbre givré.

"Salut beauté alors tu me trompe avec des petit cerfs maintenant?"

Il se mit à l-embrasser comme un fou, la bouche le cou, les joues, il savourait la peau de sa désesse!

"Alors tu voulais qu-on parles loup?"

Rosalie était tellement concentrée à fulminer sur le fait que son mari ne lui répondait pas qu'elle ne vit rien arriver.
Elle se retrouva plaquée au sol et poussa un hurlement de peur.
Dès que les lèvres d'Emmett se posèrent sur les siennes, elle fut appaisée.
- Tu es fou?
Tu veux ma mort, ria-t-elle.
Puis elle se ravisa.
- Tu n'as plus de forfait sur ton téléphone?

Elle était fidèle à elle-même, rancunière.

Elle lui en voulait et il s-en doutait.

"Rosalie......... Ma déesse......... Mon I-Phone à toujours un bon forfait....... Mais avec tout ce qui arrive j-ai par m-égarde oublier..................."

Il lui fit des yeux abattu!

"J-ai recu chaque message mais je suis un mari sans coeur puisque je suis vampire et qu-il ne bat plus!"

Il lui fit encore c-est yeux.

"Et toi tu te lance dans la vente de poupée gonflable et perruque blonde! As-tu vu la chambre que j-ai préparer pour Nessie elle est chouette? As-tu penser à Noel cela approche on va devoir magasiner je veux dire tu devras magasiner car tu vas certainement t-occuper des cadeaux sauf le tiens que je vais faire!"

Il était une vraie pie.

Il lui faisait le coup du mari coupable et regrettant son oubli.
- Mouais, et bien, tu n'as aucune excuse!!!!
Quand je t'envoie un message j'apprecierai que tu me répondes!

Voilà qu'il lui parlait de magasiner pour Nöel.

- Je pense que cette année, ce serait sympa que tu fasses les achats de Nöel avec moi, au moins je ne serai pas tentée de t'acheter une poupée blonde.

Elle éclata de rire.

- D'après ce qu'on m'a dit, elle t'as bien plue cette poupée!!!
En ce qui concerne la chambre de Renesmée, je ne l'ai pas encore vue mais je suis sure que tu t'es surpassé!!!

Il fit tourner sa femme dans les aires avant de l-embrasser pendant des minutes infernales!

"Tout ce que tu veux ma déesse, tout ce que tu veux, on fera le tout ensemble! Pour la poupée elle est morte je lui ai sauter dessus et elle s-est dégonffler, ne me fait plus jamais un truc comme cela!"

Il était souriant à la chambre de sa nièce.

"Je voulais aussi te dire que j-ai parlé avec Mia et je lui ai dit que je ne voulais plus qu-elle me parle de ses trucs avec Matthew qu-elle allait devoir t-en parler. Rosalie si moi je suis encore au courant sur un truc dans les prochains mois c-est pas compliqué je vais tuer Matt, couper la tête, mettre le feu dedans tu vois où je m-en vais avec mes ski ma belle Rose?"

Il était accroché après sa femme et lui sentait les cheveux et la peau.

"Tu as un parfum des meilleurs!"

Pauvre Emmett, s'il avait encore eu un coeur il aurait été victime d'un infarctus.
L'évocation du nom de Matthew lui donnait des palpitations.

- Je te l'accorde, tu n'es pas fait pour entendre parler de ce genre de chose.
Je me dévoue donc à cette mission.

Le fait qu'Emmett l'embrasse de la sorte et lui accorde tout ce qu'elle demandait rendait Rosalie très calme.
Elle aimait lorsqu'il l'embrassait et profitait des moments qu'ils passaient ensemble.
Elle aurait tant aimé qu'il soit chaque minute à ses côtés.
Elle plongea la tête dans le coup de son mari et entreprit de l'embrasser comme elle seule savait le faire.
- Humm, je dois dire que ton parfum n'est pas pour me déplaire.

Elle acheva sa phrase en le mordillant amoureusement.

Il était tout aussi souriant que lorsqu-il était arriver avec elle.

"Alors on est 2 à aimer notre odeur!"

Elle lui mordilla le cou ce qu-il le fit rire parce qu-il se rapellait du dernier courriel de son frère.

"Rose, j-ai eu des nouvelles de Edward, je dois aller le voir jeudi, il va m-attendre avec Macen, la dernière fois que je l-ai vu notre neveu je lui ai donné un chien, il l-a appellé Vitamine!"

Il se demandait comment ce nom avait pu attérir pour un chien mais Macen était un enfant au phrase et mot spécial.

"J-ai des chances de voir Bella aussi, Edward m-a dit qu-elle était craintive tssssssss, je vais te faire partir cela moi cette crainte là, je vais la brasser pas mal mais cela va lui faire du bien!"

Puis il se demanda si sa femme était rentré en contact avec sa belle soeur.

"J-ai vu dans nos messages que Bella et toi vous vous parlez, est-ce que cela fait longtemps?"

Avant qu-elle ne lui répondre il l-embrassa sans pitié.

Après avoir repris son souffle Rosalie sourit à l'évocation du nom que Macen avait donné à sa chienne.
- Vitamines... Pourquoi pas!!! Il va lui en falloir de l'énérgie à cette chienne pour suivre Macen!!!
Il est vrai que Bella et moi nous nous sommes écrits.
Je regrette que cela ne soit pas plus fréquent.
Tu me fais penser de lui écrire tout à l'heure.
Malheureusement, cela m'a fait repenser à Emy-Rose et m'a brisé le coeur.
Tu ne sais pas si les cicatrices de Bella se sont estompées?
Je n'ai pas osé lui en parlé de peur de la faire replonger dans ses terribles souvenirs.

Rosalie s'arreta de parler un moment pour profiter des lèvres si douces de son mari.
Elle les embrassa fougeusement.

- Je suis heureuse que tu ailles voir Edward.
Je sens bien que ce soudain rapprochement avec notre frère te fait du bien.
Tu dis que Bella est crainive? A quel sujet?
Ne me dis pas que tu vas encore fourrer ton nez dans les affaires intimes de notre frère!!!!
Je te signale que tu n'es pas en meilleure position pour conseiller Edward étant donné que.... tu manques d'entrainement.
Je me demande si Bella et Edward ne seraient pas plus actifs et surtout créatifs que nous.
Tu perds ta réputation mon amour!!!!
Enfin, je ne peux pas t'en vouloir si tu es en manque d'inspiration ou peut être est-ce un problème physique?

Elle passa sa main dans l'entre jambe de son mari afin de lui faire comprendre son insinuation.

Elle recula et poursuivit.

- J'envisage d'écrire à Bella afin de me donner des petites astuces pour te garder à mes côtés.

Elle regardait son mari avec un regard lourd d'insinuation.

Sa femme avait beaucoup de question finalement.

« Oui, le chien va avoir besoin de manger tout ses vitamines si elle veut suivre le rythme de Macen, car il est très énergique, il retient de Bella pour cela! Elle sera certainement contente d-avoir de tes nouvelles je n-ai pas lu ce qu-elle t-écrivait cela ne me regardait pas, mais j-ai été tenté je dois bien te l-avouer! Edward m-a annoncé que le tout était partit à 80% avec la crème que papa m-a donné, elle est contente de cela, mais je connais Bella, cela doit toujours la déranger, tu sais comme elle manque de confiance en elle quand cela concerne son apparence, mais encore plus qu-elle doit avoir peur que Edward ne la regarde plus comme avant! »

Elle lui parla de son rapprochement avec son frère.

« Cela me fait du bien Rosalie, ce qui se passe avec Edward, c-est derniers mois il était plus proche de Jasper et cela me fatiguait mais là nous sommes dans le même bateau avec nos fille et on s-entend et je ne sais pas comment te décrire cela mais il m-aide à passer aux travers ces moments assez cahotique avec Mia, car il vit le même truc avec Ness. Pour Bella, je ne sais pas, Edward, m-a juste avertit de faire attention à Bella, qu-elle était craintive tssssssssss je vais faire disparaitre la crainte moi! Cela doit avoir un lien avec ce qui est arrivé avec Jasper! »

Elle le fit rire quand elle lui sortit que son frère et sa belle sœur devenait plus actif et même plus créatif…

« Attention Rose je vais mourir étouffé, je peux peut-être admettre que mon frère doit se pratiqué un peu, juste un peu, mais de la à être plus actif on parle quand même de Edward! Puis il a du chemin à faire pour nous rattraper nous avons plus de 80 ans de mariage ma déesse! »

Elle l-aguicha juste assez pour allumer une lumière en lui.

« Je ne suis pas en manque d-inspiration et encore moins d-un problème physique!! »

Il l-a fit trébucher dans l-herbe.

« Mieux que je quitte demain soir pour aller voir justement notre lecteur de livre je serais aussi bien de m-amener un souvenir des meilleurs avec toi! »

Il lui embarqua dessus et la regarda longuement. En poussant un rugissement il venait de bousiller le linge qui lui recouvrait le corps. Il avait la bouche et les lèvres occupé à sucer ses mamelons qui devenait aussi dure que sa peau et aussi pointu qu-il était possible.

Il avait les doigts occupé dans l-intérieur de sa femme et il allait les faire bouger en elle jusqu-à ce qu-elle commence à crier.

Quand cette étape fut passer, il descendit sa bouche sur son sexe qui laissait une trace de son jus. Il commenca à faire tourner sa langue sur son clitoris et il n-attendait qu-elle le supplit d-arrêter.

L'Homme avait été touché dans son amour propre!!!!
Il ne tarda pas à réagir.
Comme il était prévisible!
Rosalie le connaissait trop bien comme il lui avait si bien fait remarqué, il avait plus de 80 années de mariage et quelques heures d'activités au compteur.
En une fraction de seconde elle se retrouva nue, ce qui n'était pas pour lui déplaire vu le temps qui s'était écoulait depuis leur dernier moment "intime".
Elle aimait qu'il s'attarde le long de sa poitrine mais ne pu retenir un gémissement lorsqu'il jouait avec sa langue de cette manière.
Elle planta ses ongles dans le dos de son mari et empoigna généreusement ses fesses.
Elle décida de s'occuper de lui à son tour.
Elle lui empoigna les cheveux comme une tigresse afin de le faire remonter à la surface.
Elle profita de cette posture pour descendre au niveau de son sexe.
Elle le prit dans les mains et le mit généreusement en bouche et joua avec sa langue le long de celui-ci.
Par moment, elle le mordillait afin de faire monter en lui des sensations.
Se lassant très vite, elle remonta le corps de son mari en posant à chaque arrêt un baiser.
Elle se colla contre lui afin de le faire patienter un petit moment et de faire monter en lui le désir.

- Je crains qu'Edward ne soit pas impressionné par ton souvenir mon amour à moins que tu fasses preuve d'ingéniosité.
Mais... je crains que tu ne saches plus me surprendre après tant d'années de mariage.

Elle jubilait.

Emmett n'avait pas du tout trouver désagréable la manière que sa femme avait de le faire remonter vers elle et encore moins ce qu-elle entreprit par la suite. Pas de doute, il était près à l-enfiler. Mais il se mit à penser.......................................... Emmett qui pense au moment où sa femme s-acharne sur sa fourche bien en évidence prêt pour des ébats! Il pensait au courriel de son frère, à un mot en particulier.................................

Elle ne resta pas très longtemps au sous sol, elle était à présent collé à lui, il pouvait la sentir si proche de lui, si accessible.............

"Rose, est-ce qu-on peut arrêter de parler d-Edward s-il te plait, ce n-est pas cela qui va me laisser à ma monter! C-est comme si je mentionnais un nom féminin, n-importe lequel, comme Alice, à moins que tu fantasme sur notre soeur et que tu aimerais un truc à trois ou sinon Bella pourrais certainement être plus ouvert à cela, mais on laisse Ed à l-extérieur de cela!"

Il se mit à rire pour démontrer à sa femme qu-il ne fessait que plaisanter. Il s-approcha un peu plus d-elle pour un contact des lèvres, elle croyait qu'il ne pouvait la surprendre.....................
Il la recoucha dans l-herbre et il se mit à l-embrasser partout du cou jusqu-à la pointe de ses orteils en prenant le temps d-aimer le plus doucement que possible tous ses parties de corps de femme.

"Je crois que ce que je vais te demander va te surprendre moi........................"

Il l-a retourna pour avoir son son dos et ses fesses et il refit le même truc pour partir de son cou et lui embrasser le dos, les fesses, le derrière des cuisses, ses mollets et la plante de ses pieds. Avec ses lèvres, il était de retour à son cou. Il fit glisser son bâton de "baseball" dans sa chatte qui affluait de jus. Il débuta de bouger en elle avec douceur et il promenait ses mains sur ses côtes pour lui donner des caresses tendre.

"J-aimerais te le faire avec douceuuuuuuuuuuuuur ma déesse......................."

Il n'avait pas arrêter de faire l-amour à sa femme en lui disant cela, il savait que cette demande allait la prendre par surprise et il allait devoir attendre les résultats.

Voilà qu'il lui parlait de Bella et Alice et d'une partie à trois. Rosalie n'allait surement pas partager son mari avec une autre femme et encore moins avec Bella et Alice.
Cette possibilité la fit grimacer mais elle fut soulagée en le voyant sourire.
Ce qui la surprena le plus c'est qu'il s'attardait à l'embrasser et à la caresser de manière inhabituelle; il était doux.
Etait-l tombé sur la tête où était-ce du au fait qu'il cotoyait davantage Edward?
Il l'avait couchée délicatement dans l'herbe et recouvrait son corps de doux baiser.
Cette attitude retourna Rosalie. Elle ne s'attendait pas du tout à cela et son attitude allait surement faire comprendre à Emmett son étonnement.
Elle plongea son regard dans les yeux d'Emmett afin qu'il réalise à quel point elle l'aimait et combien elle appréciait son changement de méthode.
Une seule question persistait dans son esprit; allait-il tenir le coup jusqu'au bout sans que son instinct ne reprenne le dessus.
Elle allait s'affairer à le faire quitter son objectif.
Elle le sentait en elle et cette douceur dont il faisait preuve n'enlever en rien le plaisir qu'elle ressentait.
Des milliers de frissons parcouraient son corps.
Elle se laissa aller à quelques mouvements lents tout en baladant ses mains sous son chandail.
Elle sentait chaque muscle de son dos et de ses fesses parfaites. Elle ne prononça aucun mot car rien ne poivait décrire son sentiment dans le moment.
- Tu veux de la douceur!! Et bien vas-y!!

Elle se donna à lui, curieuse du résultat.

J'attrapa mon cellulaire pour envoyer mon texto à tonton emmett puisque jake venais d'arriver.


Emmett

Le loup est dans la bergerie , je repete
le loup est dans la bergerie .

Nessie

Juste par la réaction de sa femme, il savait qu-elle doutait qu-il puisse tenir le coup à son rythme de douceur, est-ce que lui en doutait? À sa grande surprise non il aimait ce qui se produisait. Mais il en avait assez de ne pas pouvoir voir les yeux de sa femme, de ne pas pouvoir s-alimenter de la saveur de ses lèvres.

Il se retira d-elle et délicatement sans rien brusquer, chacun de ses gestes étaient calculé d-avance, il l-a leva debout. Il lui passa une main dans ses cheveux blond.

"Tu es si belle Rosalie.................. Ma Rosalie........................"

Il appuya sa bouche sur la sienne et l'embrassa si douvement pour la première fois il savourait chaque coup de langue, chaque échange de salive, il pouvait savourer le goût qu-elle avait en appréciant rien était saccadé. Il l-a prit dans ses bras et il l-appuya contre l-arbre en la gardant fortement dans ses bras. Elle eut le réflexe de mettre ses jambes autour de ses hanche ferme.

Il débuta ses gestes en fessant entrer petit peu par petit peu son sexe dans son tunnel qui était bien lubrifier. Il se mit à bouger tendrement, il lui caressait la poitrine seulement avec ses doigts sans rien d-animal. Il déposa sa bouche sur la pointe de ses mamelons et les suca et fit tourner sa langue dessus. Il voulait une fois encore goûter ses lèvres, mais lorsqu'il releva la tête il ne put s-empêcher de la regarder dans les yeux et d-y rester accrocher.

"Je t-aime Rose........."

Il continuait de lui faire l-amour ainsi.

Il était si tendre que Rosalie en était déboussolée.
Alors qu'il passait ses mains dans ses cheveux et lui disait qu'il l'aimait, elle ne pouvait décrocher son regard du sien si amoureux.
C'est comme ci il avait été transformé, habité par un sentiment qu'elle n'avait jamais vu auparavant.
Il l'emmena délicatemment contre un arbre, qui exceptionnellement resta debout.
Elle passa ses jambes autour de ses hanches et profita de ce qui se passait.
Pour la première fois, il faisait l'amour comme deux êtres qui s'aimaient profondemment et non comme des personnes assoifées de sexe.
Elle avait songeait à le faire vasciller et de lui faire perdre la tête mais elle se demandait si ce n'était pas mieux de poursuivre de cette manière.
Après un long moment, elle décida de l'allonger sur un tapis de feuilles déposées là pas le vent d'automne.
Il était plus en forme que jamais et elle n'eut aucune difficultés à lui faire emprunter le chemin vers son sexe.
Elle s'adonna à quelques mouvements doux et réguliers saccadés par quelques gémissements. Elle ne grognait pas mais sentait que cela n'allait pas tarder tant elle aimait ce qu'il se passait.
Elle l'embrassait inlassablement et tout son corps lui criait combien elle l'aimait et combien elle avait envie de lui.
Son mari paraissait lui aussi serein et ne doutant pas apparemment de ses capacités à lutter contre l'envie de tout démolir et de faire trembler toute la fôret.
Elle gouta une nouvelle fois à ses lèvres. Leurs langues s'entremellaient et elle le mordillait à quelques moments.
Elle descendit le long de son coup en le lechant tendrement. Elle savait qu'il ne pouvait lui résister.
Elle poursuivit son périple de cette manière en parcourant tout son corps.
Tout à coup une lueur s'alluma dans ses yeux. Elle sentait qu'ils étaient tous deux à la limite d'exploser tant l'excitation les habitait.
Elle se jeta sur lui. Elle le voulait. Etrangement, cette douceur l'excitait au plus au point.
Ses yeux lui criaient de lui faire l'amour, de ne pas s'arrêter.

Elle recommença à effectuer ses mouvements voluptés et attendait la réaction de son époux.

Elle ne resta pas longtemps dans ses bras, elle prit vite en main la situation et elle le coucha sur des feuilles mortes, qui sait peut-être les mêmes dans lesquelles ils s-étaient caché des semaines auparavant. C'est avec aisance qu'elle s'enfila sur son sexe, de la même manière qu'on emboche l-animal, mais pour des raisons tellement peu semblable à l-heure où il était. La bête visitait la caverne qui était sienne, celle qu-il s-y plaisait dedans. Elle se fessait aller sur lui sans jamais dépasser la limite de la douceur, c'était par instant saccadé mais toujours aussi bon, il l'entendait poussé des léger gémissement qu'il le fessait sourire, elle l'aimait cette manière de faire l-amour puisque c-était ce qu-il fessait, l-amour.

Jamais leurs bouche ne s-était décoller, comme si une puissante colle les liait et ce pour toujours. Tout envie de la prendre avec râge était inexistante chez lui, il avait juste envie de la caresser comme un bibelot sans prix et c-est ce qu-il fit.

Leurs 2 langues vivaient un jeux nouveau mais il remarqua qu-elle se laissait aller en le mordillant juste assez pour qu-il l-a regarde et lui fasse un sourire.

La réaction qu-elle eut si vite de se lancer sur lui de nouveau et de s-abattre et de s-alimenter de sa personne lui fit comprendre qu-elle approchait l-orgasme et lui sentait une monté dans son canon chargé à bloc.

Il se leva des feuilles et tourna Rose de dos à lui en l-appuya sur le tronc de l-arbre, il l-a prit par derrière et ce d-un coup sec mais qui se transforma en douceur tout de suite après il se remit à lui faire l-amour en arrêta jamais de lui embrasser les épaule et le cou. et il lui répêtait combien il l-aimait.

Ce fut après encore de longue minutes qu-il poussa un grognements qui fit tomber les dernières feuilles de l-arbres et fit sortit un lapin de son terrier. Il mit sa tête dans le dos de sa femme et pendant que lui reprenait ses esprits il continuait d-une main à lui caresser ses seins et de l-autre il apuuyait légèrement sur sa fleurs pour s-assurer qu-elle avait eu son orgasme.

Rosalie perdait le contrôle.
Pourtant, elle adorait que son mari soit si atentionné envers elle mais c'était plus fort qu'elle, tout son corps voulait hurler son plaisir et il lui était impossible de se contenir.
Elle pensa que son mari allait suivre le même chemin.

Pendant un instant, c'est ce qu'il fut mais cela fut de courte durée.
Il ne faillait pas à son intention d'être doux et aimant.
Il lui disait qu'il l'aimait et que pouvait-elle faire d'autre que de lui dire la même chose car elle aimait son mari et les décénies n'altéraient en rien leur amour.
Ils poursuivaient leur fusion car seul ce mot pouvait les définir; ils étaient plus que jamais fusionnels.

Ce n'est que lorsque le jour pointa le bout de son nez qu'il emetta un grognement de satisfaction intense.
Elle le serra contre elle pour une nouvelle fois lui communiquer son amour.
Il est impossible de dire combien de temps ils restèrent là, enlacés et amoureux.