Le ménage 18++

Je continuais de plus belle mes coups de bassin au rythme de sa respiration, j'avais accéléré un peu la cadence sous l'emprise du désir et de la passion. Ma douce gémissait de plus belle puis je me retirai d'elle brusquement pour me rassoir sur le divan et l'entrainer avec moi dans mes bras. Je l'installai sur moi pouvoir la caresser en même temps. Alors qu'elle se mouvait sur moi, j'embrassai chacun de ses seins en mordillant tendrement ses mamelons. Elle bascula sa tête vers l'arrière et poussa un gémissement rauque et intense. Je sentais venir en moi l'orgasme mais je le repoussai loin dans mon esprit, je voulais lui donner encore du plaisir et tenir jusqu'à ce que nous exploserions à l'unisson.

Esmé sentait son orgasme monter en elle
Elle voulait le retenir encore une moment.
Elle l'embrassait où elle pouvait sur le corps de son mari
Esmé continuait ses mouvements sur lui et en gémissait et lui autant.
Elle ne pouvait plus retenir plus longtemps son orgasme et voyait que son mari non plus tellement que les deux aimaient cet instant si désirable. Ils atteignaient ensemble leur orgasme qui fit trembler la maison.
Elle se met a coté de lui et se blotti tout en l'embrassant amoureusement.

-Mon amour ....

Elle voulait lui dire comment elle avait aimée mais elle était sans mot pour le décrire
Elle le regardait dans ses yeux et sy perdait

Esmé m'aimait tellement bien que j'en était en extase. Il y avait si longtemps que nos ébats n'avaient pas été si passionnels. Elle continuait ces mouvements de va-et-vient et j'en gémis de plaisir. Soudain elle arca le dos et elle se resserrait autour de mon membre, je sentais venir en elle la jouissance. Lorsque ces gémissements se firent plus fort, je me laissai aller avec elle en même temps, nous laissâmes échapés des gémissements qui sonnèrent en écho dans une bonne partie de la forêt. Je l'embrassai encore lorsqu'elle se laissa glisser à mon côter en me fixant amoureusement.

"mon amour.." dit-elle sans finir sa phrase.

Je savais ce qu'elle voulu dire, mais aucun mot n'était nécessaire, je le savais parfaitement et je ressentais exactement la même chose. Il n'y avait aucun mot qui puisse décrire ce que nous venions de vivre. Si le paradis existe, il ne serait pas meilleur que le moment que je venais de vivre. Aucun ange ne s'aurait être si doux et désirable que ma tendre épouse Esmé.

Elle se blottit au creux de mon épaule et nous restâmes ainsi toute la nuit à écouter le silence et en savourant nos retrouvailles.

Tout en le regardant elle lui caresse le visage

-Mon amour je t'aime et je n'ai pas de mot pour te dire ce que je ressens après cett nuit de passion !

Jamais leurs crient avait atteing la forêt. Elle repensait a leur enfant qui n'habitait pas très loin.
Elle espèrait qu'ils n'avaient rien entendu !

-Je pourrais reste ainsi auprès de toi Carlisle mais j'aurais une idée pour finir tout ca en beauté !

À son tour, Esmé piquait ma curiosité, je la regardai d'un air amusé et lui dit à la blague:

"tu en voudrais encore" puis je ris de bon coeur. Comme Esmé me renvoyait un air plutot exaspérée, je ravalai mon rire et la laissa continuer

"Désolé, vas-y je t'écoute, qu'aimerais-tu faire?"

Il voulait jouer au blagueur alors elle allait continuer ainsi
Elle le regarde sérieusement

-Oublie j'ai plus le gout de cette idée qui me semblait ¨bonne¨ mais laisse !

Elle regardait pour voir sa réaction sur son changement d'idée qu'elle trouvait si agréable pour eux
avec ce qu'il venait de lui dire elle commencait en perdre le gout

Esmé fesait la moue, mais je la laissait faire, rien ne pourrait venir entacher ma merveilleuse soirée.

"Comme tu voudras mon amour" lui répondis-je tout sourire.

Je me repositionnait bien confortablement au fond du divan et profitais du calme. J'avais ma merveilleuse épouse près de moi et c'est tout ce qui comptait.

Elle aurait cru que la curiosité de son mari allait la faire parler hélas non.
Esmé pensait qu'ils seraient mieux sur le lit pour s'enlacer que sur ce pauvre divan qui n'allait plus tenir longtemps.
Elle lui prend la main et l'emena dans leur chambre .Elle ouvre une fenêtre pour laissait la brise entrer.
Elle rejoint son mari qui était deja installer sur le lit.
Esmé se blottie contre lui laissant la brise caresser leur corps.

-Carlisle je suis heureuse en ce moment.Tu m'as tant manque surtout les coup vents tu laissais en passant a la maison.

Elle baissait la tete sur le torse de son mari.
Une question lui venait en tête

-Tu était sérieux cette apres-midi en me disant que j'ai juste une semain a t'avoir pres de moi ? Après on retourne a nos veille habitude c'est ca? Une dernière chose qi me chicotte tu voulais vraiment que je pars seule en voyage?

Elle le regardait pour voir sa réaction

Voilà ce qu'elle avait. Et décidément elle a tout compris de travers. Après tout ce n'est pas ca faute, c'est peut-être moi qui lui ai expliquer de la mauvaise manière. Je caressai son beau visage et l'approchai de moi pour l'embrasser tendrement. Nos corps nus étendus sur des drap de soie avec cette brise qui venait de la fenêtre ouvert, il n'y avait pas de plus beau moment.

"Bien sur que non que je ne veux pas que tu partes seules en voyages, c'était ridicule de ma part, j'étais seulement un peu furieux. Et ce que je voulais dire en disant que je n'avais qu'une semaine, c'est que durant une semaine presque et demi, le dr smith m'a enlever toute responsabilité, sauf pour l'autre soir, suite au carambolage, tout le monde a été appeller en renfort. Mais pour la semaine à venir, rien, pas de beeper, pas de portable, rien du tout. Sauf que par la suite, je ne pourrais pas partir à plus d'une heure de route de l'hôpital, ce qui exclut tous les voyages. Mais je serai tout de même à la maison tous les jours, à toutes les heures et nous pourrons faires tout ce que nous voulons tous les deux. Jamais nous ne retomberons dans la même routine infernale, je te le promets mon amour."

Elle écoutaist sans parler ce qu'il avait a dire de ses questions

-Je veux te croire vraiment Carlisle mais pour le moment il va falloir que je le vois. Par moment jai cru tu me revenais mais tu repartais aussitôt.J'espere tu m'en veux pas mais mes doutes je pars pas comme ca.Je t'aime vraiment mon amour...

Elle venait de penser a une phrase qu'il lui avait dit

-Mon amour l'autre jour tu m'as dit que tu allais te rattrapper de tes absences mais comment comptait tu le faire quand tu le sais que seule ta présence plus que mini moment avec toi est le meilleur des cadeaux ou des surprises que je peux avoir surtout ta nouvelle qui en était un !!

"Me rattraper.. simplement en étant la ma chérie.. maintenant calme toi.. je suis là ma douce."

"Je t'aime."

Pourquoi il lui disait de se calmer quand elle était parfaitement calme
Elle se demandait a quoi il pouvait bien pense quoi que cela ne change pas l'habitue d'Esmé.

-Mon amour dit moi ce que tu pense en se moment j'aimerais savoir !

Elle me demandais ce à quoi je pensais, mais justement je ne pensais à rien. Seulement au plaisir et à l'exceptionnel moment que je venais de passer avec ma femme.

"Et toi, à quoi penses-tu?" M'intéressais-je.

Esmé ne fut pas étonner qu'il lui retourne la question

-Je pense a nous, au nouveau changement ,cette nuit mémorable !

Elle pensait surtout a lui.
Elle regardait l'horloge et elle était heureuse il n'était pas parti
Esmé se blotti sur lui

Esmée se blottit contre moi et je la serrai fort dans mes bras. J'entendi alors mon portable sonner dans la poche de mon pantalon qui était resté sur le plancher du salon. Esmée me regarda avec des yeux remplis de tristesse, la peur sans doute que je me lève et que je la quitte. Cependant je n'en avais aucune envie, tout ce que je voulais c'étais de restée avec elle étendu sur le lit lui caressant le dos. Je la regardai à mon tour avec des yeux rieur et déclara:

"Au diable, ils laisseront le message." puis je l'embrassai sur le front.

Esmé le regardait d'un air intérrogateur

-Tu répond pas ?

Elle était étonné si elle pourrait respirer comme un humain elle respirait plus .
Elle en croyait pas les yeux il reste et repondait pas !

-Si il ont besoin de toi et que c'est grave tu vas t'en vouloir Carlisle !

Esmé ne désirait pas qu'il part oh sa non.
Elle était si bien pourquoi son cellulaire venait tout gacher leur moment
Elle était triste au fond d'elle car avec ce qu'elle venait de lui dire il allait surement repondre et partir

Elle était parfois si contradictoire ma petite femme chérie qu'il m'était parfois difficile de la suivre, maintenant elle essayait de me convaincre qu'il fallait que je réponde.
Je me levai en vitesse et alla chercher mon portable dans le salon. À la vitesse à laquelle je me déplacais, mon téléphone n'avais sonner que deux coup. Je retournai rapidement à la chambre avec mon portable en main et dit à Esmée que si c'était l'hôpital, je ne répondrais pas, mais que si c'était un membre de la famille, qui tentait de nous joindre, il y avait peut-être un urgence. Je regardai alors qui nous dérangeais dans un si parfait moment.

"Voilà" dis-je tout sourire, "Ce n'était que l'hôpital, ce n'est pas moi qui suis de garde et je ne suis pas le seul médecin sur la planète, qu'ils aillent au diable, je suis très occupé pour le moment" répondis-je d'un sourire malicieux.

Puis je balançai mon portable sur la table de chevet et me réinstallai auprès de ma douce.

"Tu vois, je suis toujours là" affirmais-je en lui lançant un clin d'oeil.

Esmé le regardait chercher son portable et le déposer
Elle cru rêver !

-Mon amour tu peux pas savoir ce que cela représente pour moi!

Elle l'embrasse de paisson et se blottie contre lui.

-Je t'aime tant Carlisle !